Images de la page d'accueil
Images de la page d'accueilBandeau avec du texte, des boutons ou une inscription à la newsletter
Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux
Les premiers kilomètres font mal dans les jambes des cyclistes, les quelques bosses rappellent que les 20 ans s’éloignent et qu’il ne faut pas mettre "trop gros".
En route vers l’ascension finale
Puis, c’est l’arrivée sur le plateau, côté lac. Les groupes attaquent la montée à travers la forêt, alors que les Vélos à assistance électrique (VAE) vont allonger le circuit en contournant le lac. La pente devient de plus en plus dure jusqu’à l’arrivée à proximité des cabanes des chasseurs. Puis là, c’est un grand-angle à gauche qui, au prime abord, semble très raide, mais finalement relativement "facile". Les VAE reprennent la tête sans difficulté, on les entend arriver de loin avec "leur moteur". Puis, les cyclistes se lancent dans une nouvelle montée pour jeter un œil du côté de la Hourquette et rejoignent l’arrivée, avant de prendre la descente pour récupérer.
Mais le circuit remonte et le dernier kilomètre est gravi non sans mal "aux jambes" mais avec une très grande satisfaction.
Les groupes sont enfin réunis pour immortaliser cette ascension devant le panneau du col. Puis, c’est la grande descente, tranquille pour certains, à fond pour d’autres. C’est grisant mais il faut être vigilant car il y a des voitures et des vélos qui montent. La route qui mène vers Sainte-Marie est finalement très roulable.
De retour au parking, changement de tenue pour le repas pris au Restaurant des deux cols. Ainsi se termine la parade des Mousquetaires.
Comme tous les ans, la saison cyclotouristique 2023-2024 du Club des retraités sportifs auscitains (CRSA) s’est achevée par une sortie en montagne. Cette année, c’est pour gravir la Hourquette d’Ancizan, côté Payolle (Hautes-Pyrénées), que 27 sportifs ont répondu présent.
Après un départ en covoiturage depuis Auch, le groupe s’est retrouvé à Sainte-Marie de Campan, prêt à affronter cette montée. En présence d’un soleil radieux, d’une température idéale et agréable, le départ a été donné à 9 h 15.
Comme chaque année, l’équipe cycliste du CRSA est partie en séjour. Cette fois, ce fut à Saint-Georges-de-Didonne (Charente-Maritime), au village vacances "Les Buissonnets" où une équipe sympathique à l’écoute a reçu le groupe de 34 adhérents.
C’est dans une ambiance conviviale que les quatre groupes (le vélo 1 (le plus performant), le vélo 2 (cyclotourisme), les VAE (vélos à assistance électrique) et les touristes ont découvert les magnifiques paysages de la nouvelle aquitaine.
Seul point noir : les averses qui imposaient de se mettre à l’abri au plus vite mais le soleil revenait vite pour sécher et permettre de repartir.
Un séjour bien agréable organisé par Bernard, coordinateur de l’activité : à renouveler l’année prochaine…
Christine Dubourdieu peut avoir le sourire. En devenant la 700e adhérente du Club des retraités sportifs auscitains, cette retraitée active s’est vue remettre mercredi un billet d’entrée pour le prochain festival Jazz in Marciac. Une façon de la récompenser mais aussi d’encourager d’autres retraités à lui emboîter le pas.
Au total, ils sont aujourd’hui 725 adhérents venant du Grand Auch à se laisser tenter par des activités sportives et culturelles au sein du CRSA. Le plus âgé d’entre eux a 89 ans et la moyenne d’âge des membres de l’association est de 69 ans. Une trentaine d’activités sportives sont proposées aux seniors comme la marche nordique, le vélo ou encore l’escalade. Chaque activité propose plusieurs niveaux pour que tout soit adapté à chaque individu.
Combattre l'isolement
Affiliée à la FFRS (Fédération française de la retraite sportive) et rattachée au CODERS (comité départemental de la retraite sportive), l’association propose aussi des activités culturelles et des loisirs. Il peut y avoir des ateliers bricolages, dessin, du théâtre, du cinéma ou encore du chant. Béatrice Bourg, présidente du CRSA, indique: "Nous avons 3/4 de femmes et 1/4 d’hommes dans l’association et nous gagnons des adhérents toute l’année grâce à un tarif abordable de 75 euros à l’année".
Outre le domaine sportif, le CRSA se présente comme une association permettant de "combattre l’isolement". "Cela fait partie de notre ADN et c’est notre point fort. Les adhérents se retrouvent, échangent, rigolent et cela permet d’éviter d’être seul", confie la présidente Béatrice Bourg. L’association propose également des actions de sensibilisation comme la prévention routière ou encore des actions en lien avec la santé et la vie du quotidien.
Sport, Votre retraite, Gers Publié le 30/03/2023 à 14:01
l'essentielLe Club des retraités sportifs auscitains (CRSA) a récompensé ce mercredi 29 mars Christine Dubourdieu, sa 700e adhérente. L'occasion de populariser son action.
Le CRSA ( club de retraités sportifs auscitains)
fête sa 700 ème adhérente
· CA Grand Auch Coeur de Gascogne
Aujourd'hui mercredi, Christine Dubourdieu, 700 ème adhérente du CRSA a recu des mains de Béatrice Bourg la présidente, un bon cadeau pour assister à un concert à Jazz in Marciac.
La nouvelle sportive a déclaré suivre les cours de gym douce et randonner
Du haut de ses 40 ans d'existence le CRSA peut s'enorgueillir d'être l'une des associations les plus importantes du Grand Auch, forte de ses 720 adhérents seniors qui , grâce à elle, conservent bon pied , bon œil .
Jean-Jacques Dumont, président du CODERS,a rappelle l'appartenance du club au Coders tout comme 12 clubs gersois qui totalisent 1300 adhérents.
Le club propose des activités diverses et adaptées, de pleine nature ou en salle, sportives, culturelles, (une bonne trentaine) compte une majorité de dames- rien d'étonnant- et aussi des actions de sensibilisation concernant la sécurité routière, la santé, la vie quotidienne... cela demande énergie et don de soi, qualités que possèdent les fidèles bénévoles .
Bon vent au CRSA !
Société Publié le 04/12/2022 à 05:10
l'essentielLe Club des Retraités Sportifs Auscitains est l’une des rares associations à voir ses effectifs s’accroître. Sa dernière AG dessine le portrait d’un club solide.
Béatrice Bourg, présidente du CRSA, le club des retraités sportifs auscitains, ne boude pas son plaisir. "Depuis la fin du Covid, non seulement on a repris, mais on a même plus d’adhérents qu’en 2019 !" Le 15 novembre dernier, pour sa 35e assemblée générale, à laquelle assistaient près de 300 personnes, le club comptait près de 700 membres, là où il n’en comptait "que" 660 en 2019. Et le CRSA a conservé toute son attractivité pour les seniors de la ville. "D’ordinaire, on tourne plutôt à 100 nouveaux chaque année, mais là, en 2022, ils étaient plus de 150." Après des années à 69 ans de moyenne d’âge, le CRSA est passé à 71 ans, un effet secondaire de l’allongement du temps de travail, selon la présidente.
D’où vient un tel succès ? Pour la présidente, les retraités ont envie de sortir, de voir des gens et de faire du sport – à leur rythme et dans leurs limites – ou de participer à des activités culturelles. A cela s’ajoute la politique de l’adhésion unique à 75 € pour toutes les activités. "Un tarif assez imbattable, souligne Béatrice Bourg. On propose quand même 27 activités, à ce prix-là. Le seul cas où il faut ajouter un petit peu, c’est pour le yoga, où nous avons un intervenant." Pas d’activités nouvelles pour 2022, mais les vedettes gardent la cote, comme la marche nordique. "Ce sport a perduré pendant le Covid, et les adhérents continuent d’y être attachés."
La randonnée et la danse ont également beaucoup d’adeptes. Et puis, il y a le pickleball, un sport de raquette. "Depuis deux ans, ça a très bien pris, dit Béatrice Bourg. Ça ressemble au tennis, avec du badminton et du tennis de table. On y joue à 4, avec une balle perforée, et des sortes de raquettes de ping-pong !" Un succès que la présidente attribue à une pratique très ludique et que chaque joueur peut adapter à sa guise, de façon plus ou moins intense.
L’assemblée a été aussi l’occasion pour les adhérents de se rencontrer : les groupes des différentes activités ne se mélangent pas toujours, et les discussions déclenchent souvent l’envie de tester les autres propositions du club.
Là où le bât blesse un peu plus, c’est du côté de l’encadrement. Le CRSA doit jongler avec un nombre impressionnant de rendez-vous et peu de bénévoles. "Très souvent, les adhérents hésitent à s’engager, et pensent que c’est une lourde tâche… Alors que plus on est nombreux, plus c’est léger ! Mais il y a une réticence à s’engager que je n’avais jamais connu à un tel degré. Pourtant, quand on reçoit, il faut donner un peu de temps en temps."
Marc Centene